top of page
(c) Maxime Leblanc
Ce second solo du diptyque L’Épouse/La Ménagère fait exister un personnage enfermé dans ses propres actions.
S'inspirant des mots de Sheila Rowbotham ou d'Odile Henry, La Ménagère induit ce rapport du corps dominé, abîmé par la tâche qu’il effectue. La dimension de personnage regardé ou surveillé vient percer cet espace intérieur d’où le personnage est issu pour y laisser entrer le public. Le travail cherche à transformer cet espace imaginaire via la transformation physique de cette figure ménagère.
Quelle transformations possibles du personnage et du paysage sonore dans cet espace cloisonnant et ce contexte sculpté comme immuable?
Chorégraphie/interprétation : Rebecca Journo
Création sonore : Mathieu Bonnafous
Soutiens : Danse Dense, Ateliers Médicis, Collectif 12, centre de la danse Pierre Doussaint, Point Ephémère, La Déviation, Micadanses
Compagnie accompagnée par Danse Dense
bottom of page