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#lefestival

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Solus Break questionne l’identité. Pour être un peu plus précis, ça parle d’identité rythmique. De ce qui donne envie de bouger. De la manière dont notre corps traduit une pulse. Tom Grand Mourcel cherche « les sons pour les sales gosses » qui l’ont ambiancé. Des années 1990 à aujourd’hui. Du hip-hop à la techno, en passant par le break, l’acid ou la jungle. Il part de son parcours, de sa traversée du désert ». Le mouvement bugge, accélère, ralentit, se répète. Ça Groove, ça parle de plaisir, de solitude, d’isolement, du milieu de la nuit, de l’envie de se synchroniser avec les autres sur un même beat. Ça parle de mémoire, de trace. Ça rêve du passé, ça bouge au présent. C’est un état des lieux, une espèce d’autoportrait bizarre. Sauf que ça parle pas, ça danse.

Production : La Feat / Direction artistique : Dikie Istorii / Chorégraphié et interprété par Tom Grand Mourcel / Musique : Arnaud Bacharach / Création lumières : Johanna Thomas / Régie son : Tristan Chaillou / Régie Lumière : Lucien Yakoubsohn / regards extérieurs : Rebecca Journo, Chandra Grangean et Anne Lebatard / Création costumes : Lucie Grand Mourcel (Maison Mourcel)

Soutiens et coproductions : Centre chorégraphique national de Rillieux-la-Pape, direction Yuval PICK, dans le cadre du dispositif matière première / Les Subs / le Velvet Moon / Ex Nihilo – la cité des arts de la rue / Royaumont / la Maison de la danse / la Maison Populaire / Komplex Kapharnaüm / le CENT-QUATRE / Danse Dense /Ce projet bénéficie du soutien de la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes pour l’aide au projet, de la ville de Lyon ainsi que de la région Auvergne-Rhône-Alpes

Avec le soutien de l'Onda - Office national de diffusion artistique

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